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CONFÉRENCES

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La Maison Triolet - Aragon organise tout au long de l'année des conférences et journées d'études dans le but de mettre à disposition sa bibliothèque, de poursuivre l'étude des œuvres d'Elsa Triolet et Louis Aragon, mais aussi de faire connaître ces deux auteurs au plus grand nombre. 

Vous pouvez retrouver les vidéos de certaines de ces conférences sur cette page

Toutes nos conférences — tenues par des universitaires et des écrivains — sont ouvertes à tous et gratuites, sur réservation ci-dessous.

LES CONFÉRENCES À VENIR

Digraphe (1974-2000), histoire d'une revue

Vendredi 25 octobre, de 9h30 à 12h30 et de 14h à 17h

École normale supérieure,

45 rue d'Ulm - Paris (5e)

RER B - Luxembourg

La matinée, à partir de 9h30, salle Celan

Avec Guillaume Roubaud-Quashie (MTA/CHS) : Essai de vue cavalière en forme d’introduction
Danièle Sallenave, de l’Académie française
Denis Kambouchner (CPCS – université Paris-1 Panthéon-Sorbonne/CNRS) : 1975 ou la fin des avant-gardes
Franck Delorieux, poète, directeur des Lettres françaises : Francis Ponge et Digraphe
Éric Maclos, critique littéraire : Mathieu Bénézet et Digraphe.

L’après-midi à partir de 14h00, salle Weil

Avec Yves Abrioux (Transcrit – université Paris-8 Vincennes Saint-Denis) : Digraphe. Section française des Vigilants de Saint-Just : poétique et/ou politique
Gianni Burattoni, peintre : Une promenade à Digraphe
Philippe Guénin, romancier, artiste.
Serge Fauchereau (sous réserve), critique d’art.

 

Il y a 50 ans, une petite équipe de jeune gens fous de littérature et de théorie lançait une revue : Digraphe. Dans le compagnonnage d’Aragon et de Derrida, ces jeunes artistes et intellectuels allaient proposer un périodique et une collection éditoriale audacieux et singuliers. L’aventure, née dans les années 1970, devait durer près de trente ans, donnant la parole à la jeune création, non sans publier d'importants inédits donnés par de grands anciens.

Pour la première fois, une journée d’études est consacrée à l’histoire de cette revue partie à l’assaut des années 1970, 1980 et 1990.

Avec la participation d'Yves Abrioux, Gianni Burattoni, Franck Delorieux, Serge Fauchereau (sous réserve), Philippe Guénin, Denis Kambouchner, Éric Maclos, Danièle Sallenave. 

 

Entrée gratuite (sur réservation)

Dans le cadre du centenaire du surréalisme, la Maison Elsa Triolet-Aragon propose un cycle de conférences pour redécouvrir ce mouvement littéraire et artistique qui devait changer son siècle et continue d’interpeller le nôtre. ​

Aragon et la peinture surréaliste

Jeudi 14 novembre, 19h

École nationale supérieure des Arts décoratifs, (amphithéâtre Rodin)

31 rue d'Ulm, Paris (5ᵉ)

RER B - Luxembourg

Avec Patrice Allain, maître de conférences en langue et littératures françaises à l'université de Nantes

Pierre Juquin, biographe d'Aragon

Didier Ottinger et Marie Sarré, commissaires de l'exposition Surréalisme au Centre Pompidou

Sarah Wilson, professeure d'histoire de l'art au Courtauld Institute (Londres)

Aragon, écrivain, s’est très tôt pris de passion pour la peinture. Critique, interlocuteur, soutien, il tient un rôle majeur auprès des artistes surréalistes. 

« Rien de moins décoratif que Max Ernst. Mais rien peut-être, quand on ne comprendra plus quelle sourde malveillance, quelle obstination muette portaient les gens à refuser à tout prix la nouveauté sous ses formes toujours surprenantes, rien peut-être ne sera plus significatif que la peinture de Max Ernst, d’une époque qui a connu tous les bouleversements, toutes les raisons de périr et qui cherche, assise sur ses ruines, au fond d’une méditation sage, les raisons puissantes et obscures qu’elle a encore de subsister. »

Aragon, « Max Ernst, peintre des illusions », août 1923.

 

Entrée gratuite (sur réservation)

Dans le cadre du centenaire du surréalisme, la Maison Elsa Triolet-Aragon propose un cycle de conférences pour redécouvrir ce mouvement littéraire et artistique qui devait changer son siècle et continue d’interpeller le nôtre. ​

Aragon, la photographie et le cinéma surréalistes

Mardi 10 décembre, 19h

Maison du geste et de l'image,

42 Rue St Denis, 75001 Paris (1ᵉ)

Metro Châtelet

Avec Damarice Amao, attachée de conservation au cabinet de la photographie du Centre Pompidou
Valérie Vignaux, professeure d'histoire du cinéma à l'université de Caen.

Contre les snobismes et les moues dédaigneuses (« ce n’est pas de l’art »), Aragon prit dès le début le parti de la photographie et du cinéma. Les relations qu’il entretint avec les hommes et les femmes de ces arts eurent sans doute autant d’influence sur les artistes eux-mêmes que sur sa création propre.

 

À Man Ray nous devons tous le jour à un moment d’inattention, et notre vie entière se souvient à tout moment de ce moment sans mesure qu’elle imite sans cesse au gré des passages, des chansons, des capitales, des amis soudain sur un banc d’avenue...

Aragon, préface du catalogue de l’exposition Man Ray, décembre 1921.

 

Entrée gratuite (sur réservation)

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